Jusqu’au 16e siècle le Château de Portets est un véritable château fort gouverné par la baronnie de Gascq. Le 31 juillet 1808, Napoléon Ier, de retour d’Espagne y fit une halte avant son entrée solennelle dans Bordeaux.
En 1956 Jules Théron, ingénieur agronome et président du Conseil Général d’Oran (Algérie) acquiert le domaine qui était dans un état désastreux ayant subit les dommages de la guerre 40-45.
Accompagné de son fils, Jean-Pierre, il mettra toute son énergie pour réveiller ce domaine endormi, qui n’a pas été rénové depuis la 2nde Guerre Mondiale.
Aujourd’hui, le Château de Portets a retrouvé sa splendeur et c’est Marie-Hélène Yung-Théron, la petite fille, qui s’applique à mettre en valeur cette superbe propriété, édifice le plus imposant de Portets, ses vignes, ses vins et son histoire.
Marie-Hélène Yung
Château de Portets
« Je suis née dans cette maison, les souvenirs de mon grand-père entrant dans la cour chaque matin, me racontant les histoires de la vigne et du vin.
Il m’a transmis sa passion par son émotion… Nous faisons, disait-il, le « plus beau métier du monde », c’est sans aucun doute…
Je le suis chaque année, sur les chemins des 4 saisons, bercée par la houle des climats, de la vérité des sens et du goût.
C’est ainsi l’étampe d’une famille, d’un vin, d’une histoire… la nôtre ».
Marie-Hélène Yung-Théron